Le bois est une matière première comme une autre et la crise a des répercussions sur le bâtiment et donc sur la demande en matière première. Par contre, la mondialisation accélère les cycles et les prix sont de plus en plus instables.
La belle qualité ne subit pas la crise. La demande en bois de trituration ou chauffage est saisonnière mais reste globalement soutenue.
Les grumes de mauvaise qualité avec de nombreuses singularités sont par contre difficiles à vendre. Les acheteurs ne se battent plus pour les acquérir, et c’est tout à fait normal…
La gestion et la sélection des massifs deviennent incontournables.